Krauss
B, Green S.

Procedural sedation and analgesia in children

Lancet 2006; 367: 766-80


Cette très bonne
revue de l’état de l’art en matière de sédation et d’analgésie pour les gestes
et actes douloureux chez l’enfant pointe deux « lacunes » françaises :

  • l’absence de
    recommandation consensuelle pour les actes douloureux dans les services d’urgence ;
  • l’absence d’utilisation
    de kétamine par les non-anesthésistes. Aux Étst-Unis et dans la plupart
    des pays anglo-saxons, la kétamine (IM 4 à 5 mg/kg ou IV 1 à 1,5 mg/kg)
    est maintenant souvent utilisée pour réaliser des sédations profondes avec
    une très bonne marge de sécurité y compris chez des enfants non à jeun.