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Le best-of des 20e journées sur la douleur de l’enfant |
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Comment faire…
… un relais nalbuphine (Nubain®)/morphine
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La nalbuphine est un agoniste-antagoniste de la morphine.
Régulièrement, les équipes se posent la question du relais entre ces deux molécules : Que va-t-il se passer ? Faut-il attendre un certain temps après la nalbuphine pour débuter la morphine ? |
Le relais nalbuphine/morphine est la situation la plus fréquente
Un enfant a été mis sous nalbuphine en première intention, mais l’analgésie est insuffisante et un relais par de la
morphine est programmé.
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Le relais morphine/nalbuphine est moins fréquent et moins justifié
Il n’existe pas de consignes formelles et claires dans cette situation ; bien souvent, la morphine sera arrêtée et des
bolus de nalbuphine seront réalisés à la réapparition de la douleur. |
À lire
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Migraine, céphalées de l’enfant et de l’adolescent
D. Annequin, B. Tourniaire, R. Amouroux |
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Premier livre francophone sur la migraine et les céphalées de l’enfant, pathologies longtemps méconnues alors que 5 à 15 % des
enfants et adolescents sont migraineux. Cet ouvrage a pour double objectif de présenter l’état de la science (épidémiologie, physiopathologie, génétique, etc.) qui s’est largement enrichi ces 10 dernières années et d’apporter aux professionnels des outils concrets pour identifier les céphalées et améliorer la prise en charge des enfants et des adolescents migraineux. Les céphalées de tension, les céphalées chroniques, les syndromes épisodiques associés à la migraine sont aussi détaillés. Illustré de nombreuses vignettes cliniques, cet ouvrage précise les critères diagnostiques, les pièges et les idées fausses ; il décrit comment rechercher les facteurs déclenchants et particulièrement ceux d’origine psychosociale, comment utiliser et combiner les traitements médicamenteux et non médicamenteux (notamment les approches psychothérapeutiques et psychocorporelles). |
Springer, Paris Janvier 2014 |
Comment remplacer la codéine
en postopératoire de l’amygdalectomie ? |
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Dans une méta-analyse de 36 études (4 878 patients dont 1 747 enfants), l’emploi d’AINS en postopératoire n’est pas associé à
une plus grande survenue de saignement postopératoire. La prescription d’ibuprofène est donc possible, associée au paracétamol, pour cette douleur postopératoire intense qui dure une semaine. Les sociétés savantes (SFAR, ADARPEF, SFORL) vont sans doute prochainement proposer de nouvelles recommandations. Riggin L et al. Clin Otolaryngol 2013
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