Douleur aiguë Douleur prolongée Atonie psychomotrice Douleur ou dépression ? Et si c’était « psy ? » |
Douleur « aiguë »
Peur | Douleur aiguë | Peur | Douleur aiguë | ||||
Visage contracté | Postures antalgiques | ||||||
Grimace | Refus de parler et de communiquer | ||||||
Gémissements | Raideur | ||||||
Fourmillements | Protection de la zone douloureuse | ||||||
Lenteur des mouvements | Enfant inexpressif | ||||||
Pleurs | Désaturation en oxygène | ||||||
Désintérêt | Hypertension artérielle | ||||||
Ne bouge pas | Sensation de brûlure | ||||||
Cris | Refus de jouer | ||||||
Douleur à l’effleurement (allodynie) | Agitation | ||||||
Tachycardie | Sensation de décharge électrique |
Réponses (pdf) |
Douleur prolongée ou installée
Douleur prolongée | Dépression | Douleur prolongée | Dépression | ||||
Visage contracté | Postures antalgiques | ||||||
Grimace | Refus de parler et de communiquer | ||||||
Gémissements | Raideur | ||||||
Fourmillements | Protection de la zone douloureuse | ||||||
Lenteur des mouvements | Enfant inexpressif | ||||||
Pleurs | Désaturation en oxygène | ||||||
Désintérêt | Hypertension artérielle | ||||||
Ne bouge pas | Sensation de brûlure | ||||||
Cris | Refus de jouer | ||||||
Douleur à l’effleurement (allodynie) | Agitation | ||||||
Tachycardie | Sensation de décharge électrique |
Réponses (pdf) |
Atonie ou inertie psychomotrice
L’atonie ou inertie psychomotrice est un comportement de douleur prolongée, qui s’installe surtout chez l’enfant de moins de 8 ans. C’est ce qu’Annie Gauvain-Piquard a appelé « ces enfants trop calmes ».
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Douleur ou dépression ?
Douleur et dépression ont des points communs chez le nourrisson et le petit enfant.
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Atonie (ou inertie) psychomotrice liée à la douleur |
Dépression de la première enfance |
L’atonie (ou inertie) psychomotrice est peu différente en apparence du syndrome dépressif. Le seul critère discriminant est corporel : attitudes antalgiques, raideurs, perte de l’ajustement postural. Le contexte, l’histoire de la maladie, l’histoire de l’enfant lui-même et de sa famille participent au diagnostic différentiel. Si le doute persiste, un test thérapeutique par les antalgiques majeurs est conseillé. S’il s’agit de dépression, les antalgiques ne peuvent transformer le tableau ; s’il s’agit de douleur, les interactions et la mobilité réapparaissent très vite. |
Visage inexpressif | Humeur triste | |
Disparition de l’initiative motrice Latence, monotonie et lenteur des mouvements Diminution de la mobilité spontanée (réduite aux seules extrémités) |
Ralentissement global | |
Geignements, plaintes faibles | Geignements et/ou pleurs excessifs | |
Désintérêt pour le monde extérieur Irritable |
Diminution de l’intérêt et/ou du plaisir à se livrer aux activités – Irritable | |
Altération de la capacité à réagir | Diminution des capacités de protestation | |
Altération de la capacité à interagir | Diminution des interactions sociales et des initiatives | |
Attitudes antalgiques, raideurs Perte de l’ajustement postural |
Pas de signes corporels |
Et si c’était « psy » ?
L’origine « psychogène » de certaines douleurs est probable.
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Anxiété et douleur
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Dépression et douleur
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Somatisation : trouble « somatoforme » (ou somatomorphe) et douleur : la douleur dite « fonctionnelle »
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